Il manquera 465.000 euros de chiffre d’affaires en 2017 et 1.285.000 euros en 2018 pour équilibrer la structure Citadis. Ainsi, « le chiffre d’affaires prévisionnel de maîtrise d’ouvrage sur les activités classiques (concession, mandats et prestations de services) pour 2017 et 2018 est en recul par rapport aux années antérieures malgré l’intégration du chiffre d’affaires potentiel qui pourrait être dégagé par la structure », souligne Citadis.
Les opérations de 2017
Car, en 2017 et en 2018, les principales opérations menées par Citadis rapporteront beaucoup moins : le pôle technologique Agroparc rapportera 342.000 euros en 2018 (au-lieu de 507.000 euros en 2016), le centre ancien de Carpentras 165.000 euros en 2018 (au-lieu de 227.000 euros en 2016), le pôle culturel de Carpentras 26.000 euros en 2018 (au-lieu de 247.000 euros en 2016), la ZFU d’Avignon 0 euros en 2018 (au-lieu de 119 000 euros en 2016), l’EHPAD de Jonquières-Courthezon 13.000 euros en 2018 (au-lieu de 40 000 euros en 2016), etc.
Les pistes de développement
Ainsi différentes pistes ont été mises sur la table pour redresser la SEM d’aménagement et de construction : renouveler le carnet de commande de l’activité traditionnelle de Citadis (concessions, mandats et assistances à maîtrise d’ouvrage dans les métiers de l’aménagement et des constructions publiques) ; poursuivre ou non la spécialité développée par Citadis en matière de constructions sanitaires et sociales ; s’interroger sur l’activité d’études en programmation, en études urbaines (domaines très concurrentiels et peu rémunérateurs, mais liés aux autres activités) ; décider du développement et de la mise en œuvre de nouvelles opérations propres ; mettre en place une réponse aux attentes des collectivités dans le domaine de l’énergie (réseau de chaleur, photovoltaïque, amélioration des performances énergétiques des bâtiments publics).
Pour lire la suite de cet article, abonnez-vous à TPBM, en cliquant ici.